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24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 10:45

c'est lundi

 

Rendez-vous hebdomadaire initié par Mallou, et repris par Galleane, chez qui vous retrouverez les autres participants.

 

 

Ce billet va être très court. En effet, avec mon déménagement en Angleterre, je n'ai pas fini un seul livre. Ainsi, j'avais commencé Le combat d'hiver de Jean-Claude Mourlevat la semaine dernière, et je le lis toujours en ce moment.

 

http://www.livraddict.com/covers/4/4265/couv13253943.jpg

 

A ce rythme là, j'enchainerai directement avec The Casual Vacancy, le nouveau livre de J.K. Rowling, qui sera disponible ce jeudi en Angleterre...

 

 

Et vous, que lisez-vous ?

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 16:46

Informations :

 

Edition : Gallimard jeunesse

Traducteur : Julien Ramel

Date de parution : 2012

Nombre de pages : 432 p.

A propos de l'auteur : Michael Grant a passé une grande partie de sa vie sur la route. Elevé dans une famille de militaires, il a fréquenté dix écoles dans cinq États différents, ainsi que trois établissements en France. Adulte, il a gardé le goût des voyages et s'est d'ailleurs orienté vers l'écriture parce que c'était l'un des rares métiers qui ne l'obligeraient pas à s'enraciner. Son plus grand rêve est de faire le tour du monde en bateau et de visiter tous les continents. Il vit à Chapel Hill, en Caroline du Nord, avec sa femme, l'écrivaine Katherine Applegate, leurs deux enfants, et beaucoup trop d'animaux de compagnie. (source : Babelio.com)

 

 

 

 

2040. Noah est un jeune Anglais dont le frère ainé, Alex, est interné dans le QHS d'un hôpital psychiatrique. Sadie est une riche adolescente Américaine qui assiste à un match de foot et voit le jet privé qui transporte son père et son frère s'écraser sous ses yeux. Leur vie à tous deux va basculer dès l'instant qu'ils sont touchés par BZRK, l'organisation qui se bat pour préserver la liberté individuelle face au clan des jumeaux Armstrong dont le but est d'uniformiser les consciences pour garantir la paix de l'humanité. Bienvenue dans la nano-dimension, où des insectes plus petits que le diamètre d'un cheveu, se livrent une guerre sans merci contre la folie, dans le cerveau humain et dans les profondeurs de la chair. Perdre n'est pas une option envisageable quand on risque la démence...

 

 

 

Mon avis :

 

Merci à Gallimard pour ce nouveau roman.

 

Je sens que ce billet va être difficile à écrire… Car BZRK est un livre assez spécial. J’ai vu que beaucoup de personnes qui l’ont reçu des éditions Gallimard ne l’ont pas terminé, et je comprends très bien pourquoi.

 

On parle ici de nanotechnologie. Déjà, il faut suivre un minimum. Car l’auteur donne très peu d’explications. Moi, la technologie en générale, ce n’est pas franchement mon dada. Alors quand on commence à me parler de nanobots et autres, je suis rapidement perdue.

En plus de ça, l’auteur donne les clés pour comprendre l’histoire assez tardivement. Au début du roman, on est laché au beau milieu de personnages qu’on ne connait pas, et qui ont des motivations qu’on ne connait pas. C’est tout juste si on comprend qu’il y a deux camps qui s’affrontent, grâce à la nanotechnologie.

 

En parlant de la nanotechnologie, là encore il y a des éléments qui rebutent. Parce que Michael Grant est très prosaïque. Si le petit robot d’un des personnages doit aller se loger dans le cerveau d’un autre, vous aurez le droit à une description bien détaillée. Par où il rentre dans le crâne, par où il passe,… J’ai trouvé ça assez gore, et pas franchement utile. En plus, ces descriptions sont la plupart du temps assez longues…

 

Un dernier point noir à signaler (si vous n’avez pas encore fuit, après la lecture de ces premiers paragraphes) : les frères Armstrong et le BZRK ont des visions différentes de l’utilisation de la nanotechnologie. Et très vite, il apparait que celle des jumeaux est la mauvaise, celle qui faut combattre. J’aurai aimé que l’auteur reste plus nuancé, qu’il ne fasse pas des frères Armstrong et de leurs acolytes les grands méchants de l’histoire (Bug Man, notamment, est irrécupérable). J’aurai apprécié que le lecteur est au moins la possibilité de choisir son camp.

 

Et pourtant, malgré mon dégoût pour la « viande » (c'est à dire le corps humain) et ma perplexité devant cette technologie, je suis allée au bout du récit. En effet, BZRK est quand même prenant. Une fois passée la première partie, dans laquelle on ne suit rien (et j’avoue que je me suis vraiment forcée pour continuer), les choses s’améliorent un peu. On commence à voir l’intérêt de l’histoire, à comprendre les motivations des différents camps,… Le rythme de l’histoire est assez soutenue, et en lisant en diagonale les descriptions un peu dégoutantes, je suis arrivée à me prendre un petit peu au jeu.

 

Bref, BZRK est un roman particulier. Je n’ai pas détesté, mais je ne peux pas non plus dire que j’ai aimé. Je n’en retiens pas grand-chose, et il est certain que ce roman ne plaira pas à tout le monde. Mais je suis aussi persuadée qu’il saura trouver son public, un public qui ne sera pas effrayé par le monde du nano, car le roman a quelques atouts dans sa poche.

 

 

 

Autres avis :

 

* Elle-lit

* Archessia

* Amadis

* Nathan

* Alexandra

 

 

à la découverte de vos incontournables

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17 septembre 2012 1 17 /09 /septembre /2012 21:55

 

 

Rendez-vous hebdomadaire initié par Mallou, et repris par Galleane, chez qui vous retrouverez les autres participants.

 

 

Ce que j'ai lu la semaine dernière :

 

 

 

 

 

 

Ce que je lis en ce moment :

 

 

 

 

Ce que je lirai ensuite :

 

Pour le moment, je n'ai pas choisi. Un livre de ma PAL, mais lequel ?

 

 

Et vous, que lisez-vous ?

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 11:36

Informations :

 

Edition : Melecrit.com

Date de parution : 2005

Nombre de pages : 239 p.

A propos de l'auteur : Mélanie de Coster est certainement née en racontant une histoire. Malheureusement, personne dans la salle d’accouchement n’avait prévu de prendre des notes, et ce premier récit s’est perdu dans la mémoire des infirmières. Au cours des années qui suivirent, la campagne belge s’emplit souvent de contes qu’elle inventait pour ses amis d’école. Mélanie de Coster commença la rédaction de son premier roman à onze ans, de la science fiction, déjà, et dès ce moment-là, annonça à qui voulait l’entendre sa vocation : elle serait écrivain.

 

 

 

 

« Les temps changent » affirme l’Homme aux noix. Les Bâclés ne le contrediront pas, eux, les anciens rejetés de la classe, maintenant sauveurs de l’humanité. Ils ne sont pas très nombreux, cinq ou six, selon les versions. Mais ils sont attendus dans Laléa.

Avant de rencontrer le Balafré, ils devront éviter des ombres armées de griffes, trouver des fermes invisibles, apprivoiser des êtres de légende… Apprendre, aussi, à reconnaitre leurs amis. Laléa a besoin d’eux. Les Bâclés ont aussi peut être besoin de Laléa. Merlin, leur professeur, va les guider dans cette traversée vers un autre monde. Il sait que son aide ne sera pas suffisante. Et pourtant, il ignore encore qui hurle dans la nuit, et quels animaux se créent dans les secrets des châteaux.

Les Bâclés avancent…

 

 

 

Mon avis :

 

Meldc m’a offert ce livre, qu’elle a écrit, lors du swap épistolaire. J’étais donc très pressée de le lire. Et je ne le regrette pas.

 

C’est l’histoire de six enfants soufrant d’un handicap moteur, et par conséquent pas très intégrés dans la société. Ils sont à l’école ensemble, dans une classe spéciale, et n’ont pas d’amis en dehors. Ils sont à l’écart, dans le meilleur des cas ignorés, dans le pire brimés.

Mais ils vont faire la connaissance d’un nouveau professeur, monsieur Merlin. Merlin, qui va envoyer les enfants dans un autre monde, qu’il nomme Laléa. Là bas, Aidan, Albin, Arthur, Cosmo, Sarah et Titiana vont partir à la recherche de celui qui devrait les aider à sauver Laléa, le Balafré.

 

Mélanie de Coster nous offre une histoire vivante et entrainante, même si le roman reste très jeunesse.

Tout d’abord, les personnages sont bien choisis, ils sont différents les uns des autres mais se complètent. Ils sont aussi travaillés : à chacun son caractère. Il y a encore des passages consacrés à chaque enfant et à sa famille. On peut donc comprendre le caractère ou les réactions de chacun. Le seul dont on ne parle pas trop, c’est Merlin, le professeur. J’aurai bien aimé en savoir plus sur son aventure à Laléa. Mais après tout, ce n’est pas autour de lui que tourne l’histoire.

Du côté des méchants, Mélanie de Coster en a inventé un très bon. Mais je ne veux surtout pas vous gâcher la surprise !

 

De plus, le monde de Laléa est intéressant. Il m’a fait penser un peu à Narnia, à cause de l’écoulement différent du temps. Mais la ressemblance s’arrête là. L’auteur a créé un monde original, simple à comprendre et à imaginer, et avec quelques belles trouvailles. La principale est sans conteste les Schlirbs, des petites créatures bleues que j’ai trouvé adorables.

 

Quand a l’histoire en elle-même, elle est prenante. On suit avec plaisir l’évolution de nos six héros. Comment ils vont faire confiance à Merlin, comment ils vont appréhender Laléa, comment les rôles vont se distribuer, comment ils vont apprendre à se faire confiance,… L’histoire prend son temps, au début, mais n’est jamais ennuyante. Une péripétie ou une découverte arrive toujours à point nommé, et le rythme s’accélère en approchant du dénouement. Déjà conquise par l’aventure des enfants, j’ai dévoré les derniers chapitres du roman d’une seule traite. Et même si j’avais deviné certaines choses depuis longtemps, certains évènements de la fin m’ont totalement pris par surprise.

 

Il y a bien quelques petits passages que j’ai moins appréciés, mais vraiment pas grand-chose. Pour moi, il n’y a que deux gros points noirs : une scène qui place Albin en mauvaise posture, que j’ai trouvé un peu trop violente, et du coup pas vraiment crédible ; et puis des coquilles dans le texte. Il y a des espaces à des endroits où il ne faut pas, à l’intérieur de mots, et ça m’a gêné dans ma lecture.

 

Bref, ce n’est pas un coup de cœur, mais De l’autre côté des mondes est une lecture qui m’a beaucoup plu, avec des passages et des idées très intéressantes, et péripéties captivantes, et des jeunes personnages sympathiques. Et sans ces problèmes d’espaces, j’aurai encore plus apprécié mon voyage dans Laléa.

 

 

 

Autres avis :

 

* petitebelge66

* chaperon rouge

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 15:34

c'est lundi

 

Bonjour à tous!

 

Ca y est, les vacances sont finies, et je reprends donc ce rendez-vous hebdomadaire. Mais j'abandonne les vidéos, ça ne me convennait pas vraiment. Retour donc à l'ancienne présentation !

 

 

Ce que j'ai lu la semaine dernière :

 

 

 

 

 

 

 

Ce que je lis en ce moment :

 

 

 

 

Ce que je lirai ensuite :

 

 

 

Et vous, que lisez-vous ?

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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 10:33

Informations :

 

Edition : Livre de poche

Traducteur : Francis Ledoux

Date de parution : 2007

Nombre de pages : 312 p.

A propos de l'auteur : John Ronald Reuel Tolkien naquit le 3 janvier 1892, en Afrique du Sud. En 1895, sa mère, Mabel, décida de revenir à Birmingham. Tolkien devint boursier à Oxford en 1911, et vit la parution de ses premiers vers cette même année. En 1916, il épousa Edith Bratt. Revenu du front malade, il passa le reste de la guerre à amorcer l'Histoire de la Terre du Milieu. Après avoir quitté son poste de professeur d'anglais, à l'université, en 1959, Tolkien consacra le reste sa vie aux textes du Silmarillion, un cycle de mythes complexes ayant trait à la Terre du Milieu. Il déménagea au bord de la mer pour demeurer auprès de sa femme gravement malade. Elle mourut le 29 novembre 1971. J.R.R. Tolkien disparut en 1973. (source : TolkienFrance.net)

 

 

 

 

Bilbo, comme tous les hobbits, est un petit être paisible. L’aventure tombe sur lui un beau jour, lorsque Gandalf le magicien et treize nains barbus l’entrainent dans une chasse au trésor périlleuse à la Montagne Solitaire gardée par le dragon Smaug…

Il traversera les Monts Brumeux et la forêt elfique de Mirkwood, sera capturé par de puissants trolls et trainé par des orcs dans les entrailles de la terre : il sera contraint à un concours d’énigmes par le sinistre Gollum, englué dans la toile d’une araignée géante, et participera à une bataille légendaire…

Bilbo échappera cependant à tous les dangers et reviendra chez lui, seul et incompris, mais riche et plus sage, en possession d’un mystérieux anneau…

 

 

 

Mon avis :

 

Bilbo est un jeune hobbit respecté, qui vit tranquillement et n’a connu aucune aventure, à sa grande satisfaction. Mais quand Gandalf l’entraine, plus ou moins de son plein gré, au milieu d’une bande de nains qui projettent de reprendre un trésor volé par un dragon, le voilà obligé de quitter sa vie bien ordonnée et confortable.

Avec ses nouveaux compagnons, il va faire la route jusqu’à la Montagne Solitaire pour cambrioler Smaug le dragon et reprendre le trésor des nains. Mais le voyage jusqu’à là bas ne sera pas de tout repos…

 

Autant j’adore la trilogie du Seigneur des anneaux en film, autant les romans de Tolkien ne m’ont pas laissés de très bons souvenirs. A vrai dire, ça a même été trois lectures plutôt laborieuses (trop de descriptions et de longueurs, entre autre). Alors j’ai profité d’une lecture commune sur livraddict pour me motiver à sortir Bilbo de ma PAL, avant que le film ne sorte.

 

J’étais assez anxieuse en le commençant, j’avais peur que ma lecture soit aussi pénible que pour la trilogie, tout en sachant que Bilbo avait été écrit pour des enfants.

Moins ardu, c’est certain que ce roman l’est. Déjà, il est beaucoup plus court que les romans du Seigneur des anneaux. Ensuite, il y a quand même bien moins de descriptions.

 

Pourtant, une nouvelle fois je n’ai pas apprécié plus que ça ma lecture. L’histoire est captivante par moment, quand l’action est bien présente (avec les trolls, les araignées,…) mais le reste du temps, je n’ai pas été très emballée. Le roman se laisse lire, l’histoire est intéressante, mais pas spécialement prenante. Et puis, les nombreuses chansons reproduites m’ont carrément ennuyée. Au bout d’un moment, je me contentais même de les survoler très rapidement.

De plus, la traduction n’est pas extraordinaire. Certains noms ne sont pas traduits (on parle de Bilbo Baggins alors que dans mon souvenir, dans le seigneur des anneaux c’est Bilbon Sacquet, par exemple), et la traduction est un peu désuète (est-ce aussi le cas dans la version originale ?). Je me demande si c’est encore le cas pour la nouvelle traduction, sortie hier en librairie.

 

Néanmoins je ne retiens pas de ma lecture que des points négatifs ! Tout d’abord, comme dit, les aventures de Bilbo restent plaisantes, sans être captivantes, et certains passages sont forts agréables à lire. L’aventure des trolls, par exemple, m’a amusé ; et j’ai pris plaisir à suivre la rencontre de Bilbo et de Smaug.

Ensuite, j’ai aimé retrouvé des liens avec le Seigneur des anneaux. On apprend comment Bilbo est rentré en possession de l’anneau, comment il en est venu à posséder Dard,…

Enfin, les personnages sont fort heureusement bien écrits, même si je me suis embrouillée pendant longtemps avec les noms des nains, qui se ressemblent tous plus ou moins (Balïn, Dwalïn, Bifur, Bofur, Bombur, Ori, Dori, Nori, Oïn, Gloïn, Kili et Fili). Le seul qui ne m’a posé aucun problème, c’est Thorïn (ça tombe bien, c’est le meneur).

 

Bref, une lecture plus agréable que le Seigneur des anneaux (surement grâce parce qu’elle s’adresse à un public plus jeune). Mais ça ne suffit pas à me faire aimer l’écriture de Tolkien (bien que ses histoires soient très bonnes), dont je ne pense pas lire d’autres livres.

 

 

 

Les autres participants :

 

Sylly  

* Elanor

* Dex

* J.a.e_Lou

*

 

Pour retrouver les autres, cliquez ici.

 

lecture-commune.jpeg   fantasyir

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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 19:45

 

à la découverte de vos incontournables 

 

Je viens tout juste de découvrir ce nouveau challenge, organisé par Hylyirio.

 

Le but : suite à un sondage, Hylyrio a fait une liste de 50 auteurs dont il faut absolument avoir lu un livre au cours de sa vie. Il faut donc lire un ou plusieurs livres des auteurs de cette liste : pas de palier, mais un système de points (plus d'info dans le billet de présentation du challenge).

 

Le challenge dure jusqu'au 1er aôut 2013, et voici la liste des auteurs :

 

 

J'ai déjà des romans d'Agatha Christie, Michael Grant, Victor Hugo, Guillaume Musso, et Olivier Peru dans ma PAL, donc je devrais arriver à avoir quelques points ! ^^

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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 14:53

 

J'ai participé à ce nouveau swap, organisé par Plumisa, et ma swappée a été Meldc.

 

En plus du colis habituel, nous devions écrire 3 cartes à notre swappée, un pour chaque mois d'été. Et ensuite, le colis devait contenir :

     - Un livre sur le thème de l'écrit : Journal ; roman épistolaire ; histoire mettant en scène un écrivain, un journaliste ou quelqu'un qui écrit.
     - Un livre que vous souhaitez faire découvrir.
     - Un cahier ou un carnet original.
     - Un crayon ou un stylo original également.
     - Un marque- page.
     - Une gourmandise.
     - Un écrit de votre cru : texte; poème ; nouvelle ; (court) roman ; ou à défaut une très belle lettre que vous aurez pris soin de peaufiner, adressée à votre swappée ou à une personne de votre choix (imaginaire ou non).

 

 

Hier, j'ai reçu le colis envoyé par Meldc, qui m'a bien gâtée !

S5030183.JPGS5030184.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et dans le détail, ça donne ça :

* Un très joli carnet de voyage (je pars en Angleterre dans 2 semaines, alors je compte bien le remplir assez vite!)

S5030189.JPG

 (désolé pour le flash)

 

* Un autre carnet super mignon (à l'intérieur, chaque page est faite d'un autre papier ou avec un décor différent, c'est extra!), et une petite déco

S5030193.JPG

 

* Trois livres : 84, Charing Cross Road d'Helen Hanff ; Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows ; et De l'autre côté des mondes de Mélanie De Coster (c'est à dire Meldc en personne!)

S5030186.JPG

 

* Deux MP, un stylo et des galettes bretonnes.

Je n'ai pas de photos, mais vous pouvez les voir sur la photo d'ensemble.

 

S5030194

 

 

Bref, Meldc a vraiment bien choisi. Un grand merci à elle, et un autre grand merci à Plumisa pour avoir organisé ce swap!

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 15:00

Informations :

 

Edition : Penguin Books

Date de parution : 2010

Nombre de pages : 464 p.

A propos de l'auteur : Née en 1969, Kathryn Stockett est une romancière américaine. Diplomée de l'Université d'Alabama, Kathryn Stockett S'installe à New York en 2001 et travaille dans l'édition de magazines et dans le marketing. Quelques années plus tard, elle se lance dans l'écriture de son premier roman, dont l'action se déroule dans sa ville natale, Jackson, Mississippi, dans les années 60. (source : www.evene.fr)

 

 

 

 

Jackson, Mississippi, 1962. Black maids raise white children, but aren’t trusted not to steal the silver. Some lines will never be crossed.

 

Aibileen is a black maid: smart, regal, and raising her seventeenth white child. Yet something shifted inside Aibileen the day her own son died while his bosses looked the other way. Minny, Aibileen’s best friend, is by some way the sassiest woman in Mississippi. But even her extraordinary cooking won’t protect Minny from the consequences of her tongue. Twenty-two-year-old Skeeter returns home with a degree and a head full of hope, but her mother will not be happy until there’s a ring on her finger. Seeking solace with Constantine, the beloved maid who raised her, Skeeter finds she has gone. But why will no one tell her where?

 

Seemingly as different as can be, Skeeter, Aibileen and Minny’s lives converge over a clandestine project that will not only put them all at risk but also change the town of Jackson for ever. But why? And for what? The Help is a deeply moving, timeless and universal story about the lines we abide by, and the ones we won’t. Itis about how women, whether mothers or daughters, the help or the boss, relate to each other – and that terrible feeling that those who look after your children may understand them, even love them, better than you . . .

 

 

 

Mon avis :

 

C’est à l’occasion d’un Book Club de Livraddict que j’ai décidé de lire ce roman. J’avais vu l’adaptation cinématographique lors de sa sortie en salle, j’avais beaucoup aimé, donc je me doutais que le roman allait me plaire. Et c’est effectivement le cas.

 

L’histoire se déroule à Jackson, Mississippi, dans les années 1960. Skeeter est une jeune femme fraichement sortie de l’université et pleine d’ambition. Son rêve : devenir écrivain et quitter sa petite ville pour New York. Quand une éditrice lui donne sa chance, Skeeter la saisie à pleines mains et choisie de traiter d’un sujet dangereux, à cette époque : la vie des aides noires dans les familles blanches. Dangereux pour elle, mais surtout pour les femmes acceptant de lui parler, qui risquent alors plus que leur vie, même si tout ce qu’elles ont à dire n’est pas toujours négatif…

 

C’est le premier livre sur ce sujet que je lis, et je l’ai trouvé très intéressant. Déjà, du point de vue historique. L’époque est très bien retranscrite, et l’histoire est très réaliste. D’ailleurs, je pense que l’auteur s’est bien documentée, et qu’elle n’exagère pas, dans les anecdotes qu’elle raconte (je me pose juste la question concernant les toilettes séparées des noirs et des blancs. Si quelqu’un sait si c’était vraiment le cas…). Le roman est bien ancré dans la réalité, et il y a de nombreuses références à des évènements ou des personnalités de l’époque (par exemple, la marche sur Washington de Martin Luther King en 1963).

 

Ensuite, le récit trouve un bon rythme grâce à l’alternance de points de vue : celui de Skeeter, la jeune femme blanche qui écrit le roman, et ceux d’Aibileen et Minny, deux aides noires. D’ailleurs, ce procédé permet d’avoir des visions différentes d’un même évènement, et donc de ne pas se cantonner à la vision « blanche » ou à la vision « noire ». Je trouve que ça donne plus de crédibilité et de profondeur au roman. Et puis, ces différents points de vue permettent d’avoir une vision plus complète de la société de cette époque. Si on n’avait eu que le point de vue de Skeeter, par exemple, beaucoup d’évènements se passant dans le côté noir de la ville nous auraient échappés.

 

Un autre point fort du roman sont les personnages. Ils sont nombreux et variés (même si essentiellement féminins), et dans l’ensemble plutôt bien travaillés. Ainsi, à part miss Hilly, une amie de Skeeter, à qui je ne trouve pas de point positif, les personnages sont assez nuancés. Les femmes blanches ne sont pas seulement des femmes sans cœur qui exploitent les femmes noires qui travaillent pour elles. Les femmes noires ne sont pas toutes en colère contre les familles qui les emploient. On trouve donc à la fois des témoignages négatifs, tristes, mais aussi des histoires très touchantes. J’aime particulièrement la relation entre Minny et sa patronne, miss Célia.

L’auteur a rendu ses personnages crédibles jusqu’à dans leur manière de parler. Miss Skeeter et Aibileen n’utilisent pas le même niveau de langue. Par exemple, en VO, Aibileen ne conjugue pas toujours les verbes (« I be » au lieu de « I am »). C’est un petit détail, mais que j’ai beaucoup apprécié (j’espère que la traduction française a trouvé un moyen de conserver cette particularité). C’est aussi ce qui prouve que le roman est travaillé.

 

Enfin, je trouve la fin du roman très bonne. L’auteur a choisit de finir son roman avec une fin ouverte. Alors certes, j’ai été un peu frustrée de laisser Aibileen sans savoir ce qui va lui arriver ; mais concernant Minny et Miss Skeeter, je trouve que laisser le lecteur imaginer la suite est une bonne chose.

 

Bref, j’ai lu ce roman en anglais, et même si je n’ai pas tout compris à 100%, que j’ai du relire des passages plusieurs fois, et que les fautes de grammaire (pour Aibileen, par exemple) m’ont compliqué la compréhension, La couleur des sentiments reste une excellente lecture, et je comprends fort bien le succès du livre. Je suis d’autant plus contente de l’avoir lu que de nombreuses scènes du roman ne sont pas dans le film, des scènes que je trouve pourtant importantes.

 

 

 

Autres avis :

 

* nanieblue

* meldc

* Emily

* reveline

* Nathalie

 

 

challenge littérature+cinema

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24 août 2012 5 24 /08 /août /2012 11:12

Informations :

 

Edition : Livre de poche

Date de parution : 2012

Nombre de pages : 256 p.

A propos de l'auteur : C’est en 1969 que Jean-Luc Marcastel naquit en la bonne ville d’Aurillac, au cœur du vert et sauvage département du Cantal. Après plusieurs années d’études d’Histoire dans la belle ville de Toulouse, pavée de brique rose, et quelques pérégrinations au nord de la Loire, il retrouva ses montagnes natales. Là, il devint enseignant et employa ses jours à transmettre le goût des époques révolues à la jeunesse d’Aurillac et des environs. Mais une autre passion le dévorait depuis bien longtemps... L’écriture. (source : Livraddict)

 

 

 

 

Pourchassés par le Siblaire et ses limiers, Louis, Séverin et la Roussotte ont fui leur village du bout du monde. Sur les conseils de Thierry, le galoup Blanc, ils descendent la vallée pour se rendre à Aurillac et trouver asile chez Maistre Lebreton. Car une tourmente approche, et cette tourmente porte le nom de Malemort. Le Grand Veneur chasse, et sa proie… c’est Louis.

 

 

 

Mon avis :

 

Et voici la suite des aventures de Louis le Galoup. On l’avait laissé sur la route, après avoir échappé au Siblaire. Et on le retrouve sur la route, pour rejoindre Aurillac. Avec ses deux compagnons, Séverin et la Roussotte, il espère trouver refuge chez Maistre Lebreton. Mais la ville réserve aux trois enfants nombre de surprises, et pas des plus agréables. Parmi elles, l’arrivée du pire galoup noir que la terre est portée : Malemort, qui a pour mission de trouver Louis…

 

Ca se confirme : Louis le Galoup est une pépite. Ce deuxième tome m’a encore plus enchanté que le premier. Dès les premières lignes, j’ai retrouvé avec un immense bonheur la plume de Jean-Luc Marcastel, et je me suis laissée porter par sa façon de raconter l’histoire, à la manière d’un conteur. Encore une fois, l’auteur nous raconte une histoire trépidante et passionnante.

 

J’ai retrouvé les trois petits héros où je les avais laissés, et je n’ai eu aucun mal à me remémorer les évènements du premier tome. Avec eux, je suis retournée sur la route. Avec eux, j’ai découvert Aurillac et Maistre Lebreton. Avec eux, j’ai frissonné en faisant la connaissance de Malemort.

 

Pas de révélations fracassantes dans ce deuxième tome, mais quelques éléments nouveaux quand même. Et surtout, les trois amis continuent à évoluer, à changer, tout en douceur. Louis est toujours aux prises avec sa double nature. Séverin sent son secret lui peser. La Roussotte se livre davantage.

 

Et comme avec le premier tome, je suis arrivée vite, bien trop vite, à la fin du roman. C’est d’ailleurs bien la seule chose qu’on peut lui reprocher. Une nouvelle fois j’ai quitté à regret Louis, Séverin et la Roussotte. J’ai refermé ce petit roman avec une seule idée en tête : me procurer le plus vite possible le tome 3 !

 

Bref, la plume et l’imagination de Jean-Luc Marcastel ont une nouvelle fois fait mouche. J’aime tout dans la série Louis le Galoup. L’écriture, l’histoire, les personnages,… Un coup de cœur, quoi !

 

 

 

Autres avis :

 

* Marmotte

* Clairdelune

* Lanyla

* mic1990

* Belledenuit

 

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